photos chantiers animation/loisirs enfants

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dimanche 30 octobre 2011

L'EQUIPES EN 2008 TSEVIE

Photos des Activités

Photos des Activités

Loisirs Enfants appliquées à la nouvelle approche participative EPE (Enfants Pour Enfants)...

PHOTOS DES ACTIVITES

Soutien Scolaire + Animation Loisirs Enfants
Tout le monde peut être volontaire, quelque soit votre âge. Il suffit d’avoir envie. Les compétences de chacun, en lien ou non avec les études ou le métier, peuvent être utilisées. Seules la motivation et la bonne volonté animent. Chacun pourra construire et mener son projet selon ses souhaits. Lors de la mission d'Aout 2011 avec les Volontaires de la DSF : à gauche un artiste Béninois au nom de JUSTE BE et au milieu Volontaire de la DSF Mlle Pauline DUVAUX et à droite le président de l'ANVD TOGO , visite de la fondation ZINSOU........

MOTS DU PRESIDENT SUITE AU MISSION D'AOUT AU BENIN

...Ne conquiers pas le monde si tu dois y perdre ton âme car la sagesse vaut mieux que l'or et l'argent ...

jeudi 6 octobre 2011

COMPTE BANCAIRE ANVD TOGO

. ECOBANK-TOGO : 20 rue du commerce BP3302 LOME-TOGO TEL:221-72-14 - FAX:221-42-37 COMPTE N°100057601048 FUCEC-TOGO-solidarité Au profit de : Association Nouvelle Vision Pour Le Développement Livret N°78.653

SOURIR D'UN ENFANT AU VILLAGE DE LILIKOPE

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<< OUVREZ UNE ÉCOLE ET VOUS FERMEREZ UNE PRISON >>, Jean de la Fontaine.

MISE EN PLACE D' UN PROJET DE MICRO - CREDIT

Nous recherchons des personnes ressources en tant que Consultant en Management pour mieux répondre à ce besoin des villageois, mission à effectuer : 1- Enquête 2-Rdéaction du Projet 3-Recherche de bailleurs de fonds (Subventions) 4- Lancement du projet . Un micro crédit à multi fonctions : • 1. « Aider ne pas Assister » : C’est une politique durable de développement et le micro crédit est l’une des solutions pour montrer à la population qu’ils doivent s’investir dans les projets et que ce sont eux les maîtres de leur développement. • 2. Donner un réel pouvoir d’intervention au Comité villageois de développement : Les comités ont souvent de bonnes idées mais manquent de moyens financiers. Ce projet pour appui aux investissements dans le commerce informel va leurs permettre de s’intégrer réellement dans la politique de développement. Il sera donc très intéressant de voir comment et vers quels projets vont-ils se diriger prioritairement, de quelles manières, quels vont être les problèmes et comment vont-ils en faire face … • 3. Observer le comportement des villageois vis-à-vis d’un micro crédit. Nous n’avons aucun doute sur le fait que ce premier microcrédit sera souhaité par de nombreux villageois mais nous souhaitons observer quel sera le comportement des villageois par rapport à cette nouvelle initiative. Vont-ils nous proposer des projets où ils pourraient s’investir financièrement ? Comment vont-ils réagir face à cette politique de responsabilisation de leur développement ?... C’est un nouveau pas dans la responsabilisation des villageois dans leur politique de développement et un réel test pour notre association dans l’évaluation de la distance à parcourir pour arriver à notre objectif final qui est de laisser un village ''autonome''.

CONSTRUCTION DE LATRINES ET SENSIBILISATION SUR L'HYGIENE ET ASSAINISSEMENT DU MILIEU

Lieu: Lilikopé, village situé à 45 km de la capitale, situé sur le National numéro 01 en allant au Nord du Togo dans la préfecture de Zio, Région Maritime /Tsévié. Date: JUILLET ET AOUT 2012 " Les actions complémentaires aux programmes d'approvisionnement en eau, sensibilisation à l'hygiène et installation d'équipements d'assainissement, peuvent entraîner une diminution significative des taux d'incidence des diarrhées infantiles dans les pays en voie de développement. Conjuguer ces deux composantes de prévention et de développement socio - sanitaire est absolument nécessaire améliorer la santé des populations, en particulier des enfants." La santé communautaire dans le village de Lilikopé est très fragile. Chaque année, les diarrhées infantiles font des ravages et la situation ne fait que s’aggraver si l’on en regarde les statistiques données par l’infirmier du village. Il n’y a pas meilleur endroit que l’école pour lutter contre ce problème. Ce sont les enfants d’aujourd’hui qui tiennent l’avenir du village entre leurs mains et il est bien connu qu’il est plus facile de prendre ses habitudes jeunes que de les changer plus tard. Ceci se révèle encore plus visible en Afrique. Ce projet, participant à l’amélioration de la santé communautaire, commence donc par les écoles via des constructions de latrines pour toutes les classes du village appuyées par des sensibilisations effectuées vers les élèves par les professeurs. Elles auront pour rôle de les sensibiliser sur l’hygiène. Par exemple, il faut leur expliquer pourquoi il est nécessaire de se laver les mains après être allé aux toilettes. Une étude exhaustive portant sur trois écoles de Ouagadougou (Burkina Faso) a permis d'évaluer les conséquences de la mauvaise qualité de l'eau de boisson et de l'hygiène sur la santé des enfants. La première école (1) était très favorisée car dotée d'un approvisionnement en eau potable, d'équipements d'assainissement (latrines, aires de destruction des déchets) et d'un programme d'éducation sanitaire portant sur la salubrité de l'eau et de l'environnement. La seconde école (2) ne bénéficiait que d'une eau potable et d'une éducation à la protection de l'eau. Enfin, la troisième (3) ne disposait, ni d'eau potable, ni d'assainissement, ni de programme d'éducation à la santé. Un groupe d'élèves de chaque école - représentatifs dans des conditions sanitaires familiales - a participé à une étude comparative menée pendant 6 mois. Elle s'attachait à déterminer, régulièrement, la qualité de leur eau de boisson, la présence de bactéries et de parasites pathogènes dans leurs selles et le taux d'incidence des diarrhées inter groupes. Les différences s'avéraient significatives - école (1) (10%), (2) (36%), (3) (53%) - et, encore, plus importantes chez les plus jeunes enfants. Les élèves des écoles (1) et (2) avaient, respectivement, un risque relatif de diarrhées 5,2 et 3,5 fois inférieur à celui des élèves de l'école (3). Ainsi, des actions conjointes et complémentaires : éducation à la santé, sensibilisation à l'hygiène et installation d'équipements d'assainissement - accompagnant les programmes d'hydraulique - peuvent entraîner une diminution très significative des taux d'incidence des diarrhées infantiles. En revanche, sans informations et équipements sanitaires, la majorité des enfants des pays en voie de développement consomment, à longueur d'année et sans réserve, une eau insalubre, polluée par les nuisances pathogènes de l'environnement et, en conséquence, dangereuse pour leur santé. Un important progrès pour la santé pourrait découler d'une plus grande fréquentation des écoles. Moins de 40% des enfants africains y sont inscrits et les filles y sont peu représentées notamment en milieu rural. De plus, le terme « éducation à la santé » est quasi inconnu de tous en dehors des villes. Dans ces conditions, privés d'informations sanitaires, enfants et adultes, des communautés villageoises et périurbaines, vivent dans un environnement insalubre, à domicile et dans les quartiers. Aucune méthodologie ne leur est proposée, aucun code ou règlement d'hygiène ne leur est imposé pour améliorer, d'une part, leurs comportements et pratiques en matière d'hygiène domestique et publique, et d'autre part, leur confort et la santé communautaire.

PROJET DE DEVELOPPMENT COMMUNAUTAIRE

La communauté rurale de Lilikopé est un regroupement de villages renfermé de 14 fermes environnantes ruraux situé à environ 45 km sur la Nationale Numéro en allant au Nord du Togo. Cette région rencontre d'importantes difficultés économiques. La quasi-totalité de l'activité économique de la région repose sur l'agriculture (mais et manioc principalement) et dans une moindre mesure l'artisanat. L'appauvrissement des sols, les conditions climatiques difficiles (climat semi-désertique) et l'exode rural massif constituent des contraintes majeures à l'essor de ce territoire. La communauté rurale s'étend sur un peu plus de 100km² et compte environ 30000 habitants. La population est composée de différentes ethnies .La religion dominante comme partout au Togo est l'islam (90% de la population est musulmane). Le projet aura lieu dans le village de Lilikopé. Il est le
plus important de la communauté et fédère en réalité un village historique avec quatorze fermes environnantes. Il compte une école primaire, trois écoles élémentaires et 1 collège. Le collège de Lilikopé est le principal de la communauté rurale, il compte 800 élèves et la parité filles/garçon est respectée (fait rare dans les villages ruraux au Togo). Ces élèves sont répartis en 03 classes. Cependant malgré ces 03 salles disponibles, ça ne permet pas de donner des cours à tous les élèves en bon siens. Lors du voyage préparatoire en 2006 suite à un diagnostic communautaire jusqu’au PAV ( Plan d’Action Villageois) , la visite du primaire et collège a été l'occasion de constater l'impact du manque de classe sur les conditions d'éducation. Les élèves ont des emplois du temps chaotique et le volume d'heures d'enseignement est insuffisant pour couvrir le programme scolaire. L'objet principal du projet est d'améliorer les conditions d'enseignement du collège et ceux du primaire, en construisant de nouvelles salles de classe, mais aussi d'apporter aux enseignants de nouveaux outils et contenus. Les professeurs du collège ne disposent en effet que de très peu de ressources pédagogiques sur lesquelles s'appuyer pour leurs cours. Dans le cadre d'un effort global de désenclavement numérique porté par le Ministère de l’Education, nous pensons doter le collège d'ordinateurs et de vidéos projecteurs contenant du matériel pédagogique adapté au programme scolaire Togolais et régulièrement mis à jour grâce à internet. A terme l’ANVD entend améliorer les résultats du collège et sa capacité à former la jeunesse qui représente l'avenir de la communauté. En détail, le projet regroupe les actions suivantes : - Construire et équiper un module de deux à trois salles de classes d'une capacité d'accueil de 70 élèves chacune au sein du collège - Déployer dans chacune de ces salles un module de classe numérique composé d'un ordinateur équipé de ressources documentaires et d'un rétroprojecteur - Fournir à chacune de ces classes des ressources documentaires papier sous la forme d'une encyclopédie et d'un jeu de dictionnaires - Mettre en place un projet éducatif sous la forme de cours de soutien scolaire aux élèves du primaire en juillet et en août - Mettre en place un projet culturel avec une forte orientation "Sensibilisation au bénévolat" auprès des élèves du collège .

mercredi 5 octobre 2011

MOT DU PRESIDENT

Si communiquer sert à construire son image d’entreprise, bien communiquer vise à s’attacher une image positive en veillant à la satisfaction de la diversité des publics, à la pluralité des messages émis par et sur l’entreprise.